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Histoire des Assemblées de Dieu

Estrade Eglise de Assemblée de Dieu de Béthel Dakar en 2009
Estrade Eglise de l’Assemblée de Dieu de Bethel Dakar en 2009, 2010

Les Assemblées de Dieu en abrégé A/D dans le monde, francophone et Assemblies of God (A/G) dans le monde anglophone, est le plus grand groupe du Pentecôtisme, avec environ plus de 300.000 églises et des antennes dans plus de 212 pays et territoires dans le monde avec environ 80 millions de fidèles dans le monde entier.  Il préfère être appelé rassemblement fraternel au lieu d’une dénomination.

Les Assemblées de Dieu ont des programmes de mission qui visent à établir des églises  et organismes nationaux autonomes et capables d’auto-propager l’évangile dans tout le pays. Les Assemblées de Dieu a ses racines dans le réveil de la Pentecôte du début du XXe siècle.  William J. Seymour et Frank Bartlemen sont les deux noms qui sont le plus souvent associés aux instruments qui ont été utilisés pour déclencher le Réveil d’Azuza Street. Seymour était incontestablement le conducteur du réveil, et c’est lui qui détenait l’autorité sur terre, mais Bartlemen était l’intercesseur qui détenait l’autorité avec Dieu.  

Ce réveil est généralement attribué à une rencontre de prière qui s’est tenue sous la direction de Charles Parham, à Bethel Bible College à Topeka au Kansas, le 1er  Janvier 1901. Bartlemen avait le lourd fardeau de voir le même genre de réveil que celui dont il avait entendu parler au Pays de Galles, qui changea non seulement des individus, mais aussi des villes entières. A Los Angeles, ainsi que dans de nombreux endroits à travers le monde entier, les cœurs étaient préparés tout comme l’était Bartlemen. L’une des caractéristiques du réveil d’Azuza Street est qu’il n’était pas uniquement centré sur un seul homme.


Sénégal et TIC

SITUATION GEOGRAPHIQUE

Le Sénégal se situe à l’Ouest du continent Africain, avec une superficie de 196.712 Km². Il est limité par la Mauritanie au Nord, le Mali à l’ouest, la Guinée Bissau et la Guinée Conakry au Sud, la Gambie au Centre.

Les projections de la population sont estimées à 13 567 338 d’habitants pour 2013. Il connait un taux d’urbanisation de 46,8 (en 2008) et un taux de croissance de 2,1 (en 2011). Le Sénégal est un Etat laic qui a eu son indépendance le 04 Avril 1960, et qui évolue dans un régime présidentielle multipartite. Son président est élu pour 7 ans renouvelable une seule fois. Actuellement celui qui a cette lourde responsabilité est Monsieur Macky SALL qui est à son premier mandat, depuis le 02 Avril 2012. Le parlement est composée de l’Assemblée nationale uniquement.

LES MESURES INSTITUTIONNELLES

Organisation du Secteur

Autorité de Régulation des Postes et des Télécommunications (ARTP)
Agence de l’Informatique de l’Etat (ADIE)
Ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique

CADRE LEGAL ET REGLEMENTAIRE

1985: Création de la Sonatel (monopole d’Etat)

1997: Privatisation de la Sonatel avec cession de 43,33% des parts du capital à FCR.

1999: Attribution d’une seconde licence (mobile) à TIGO GSM.

2002: Création de l’Agence de Régulation des Télécommunications (ART)

2004: Libéralisation totale du secteur des Télécommunications
Création de l’Agence de l’Informatique de l’Etat (ADIE)

2005: Publication de la « Lettre de politique sectorielle du secteur des Télécommunications

2006: Transformation ART en ARTP

2007: Attribution d’une 3e licence (globale) à l’opérateur SUDATEL
Document de la Stratégie de Croissance Accélérée (SCA)

2008: Adoption de la loi sur la société de l’information, de la Loi d’orientation sur la société         de l’information (Loi sur la protection des données à caractére personnel, Loi sur les transactions électroniques, Loi sur la cybercriminalité, Loi sur lacrytographie)

2009: Attribution d’une licence de service universel de télécommunications dans la région
de Matam (Nord du Sénégal) au Consortium de Service Universel SA (CSU SA)

2011: Nouveau Code des télécommunications Loi N° 2011-01 du 24 février 2011
L’Agence (ARTP) devient une Autorité (ARTP).

Photo prise sur le site 1fatou.skyrock.com
Photo prise sur le site 1fatou.skyrock.com

 


Présentation de la RDC

La RD Congo comprend 11 provinces à savoir :

-Bas Congo

-Equateur

-Kasaï Occidental

-Kasaï Oriental

-Katanga

-Kinshasa

-Maniema

-Mbandaka

-Nord Kivu

-Province Oriental

-Sud Kivu

La constitution du 18 Février 2006 a prévu, en son article 2, la subdivision du pays en 26 entités décentralisées.

Elle compte 21 villes dont la capitale, Kinshasa, subdivisés en communes. Les communes sont réparties en quartiers. Il y a 145 Territoires, subdivisés en secteurs ou en chefferies et en communes hors villes. Il y a 472 secteurs et 261 chefferies, soit au total 733 entités territoriales décentralisées (ETD). Elles sont dotées de la personnalité juridique et d’un conseil élu. Géographiquement, les chefferies sont moins nombreuses à l’Ouest du pays, mais majoritaires dans les provinces de l’Est.

Ainsi, on retiendra qu’il y a 349 secteurs et 23 chefferies, tandis qu’à l’Est, il y a 127 secteurs pour 237 chefferies. A la fin de cette échelle, on a 5.675 groupements qui sont considérés comme des institutions axées sur la coutume. Dans le plus grand pays et le plus peuplé de l’Afrique Centrale, les institutions coutumières ont un rôle incontestable et important. La constitution reconnait l’autorité et la propriété coutumières, on peut le vérifier dans les articles 34 et 207.

Les recensements de la population n’ont pas respect le cycle normal, certes des enquêtes ont été faites avant les indépendances mais le dernier recensement scientifique date du 01er Juillet 1984. Aux alentours de 1960 l’urbanisation se fait plus suivant l’axe du Sud-Ouest en parallèle au chemin de l’exportation des produits miniers  du Katanga. Des villes comme Kinshasa, Lubumbashi, Mbuji-Mayi Kananga et Kisangani se sont développées. On a aujourd’hui 18 autres villes qui totalisent chacune plus de 200.000 habitants.

Pour avoir plus d’informations, nous vous conseillons de lire « Plaidoyer pour la maîtrise de l’espace en République Démocratique du Congo » qui est un Atlas de l’organisation administrative de la  République Démocratique du Congo.


Qu’est-ce que le Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI)

© UITLogo du SMSI
© UIT
Logo du SMSI.

Conformément à la Résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies 56/183, le Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI) s’est déroulé en deux phases. La première phase à Genève du 10 au 12 décembre 2003 et la seconde phase a eu lieu à Tunis, du 16 au 18 novembre 2005

Le SMSI a mis en place un forum dans lequel plusieurs parties prenantes, y compris les organisations internationales, les gouvernements, le secteur privé et la société civile ont pu discuter des opportunités d’information et des environnements de communication, ainsi que relever des défis tels que l’inégalité dans l’accès à l’information et à la communication, également connue sous le nom de « fracture numérique ».

Les documents finaux du sommet :

-Le plan d’action de Genève

-La déclaration de principes de Genève

-L’engagement de Tunis

-L’agenda de Tunis pour la société de l’information

Le SMSI a également abouti à la création du :

-Forum sur la gouvernance de l’Internet (IGF)
-Le Groupe des Nations Unies sur la société de l’information (UNGIS)
-La procédure de révision du SMSI+10

La mise en œuvre des résultats du SMSI sera examinée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2015 en application de la Résolution 60/252 et du paragraphe 111 de l’Agenda de Tunis pour la société de l’information.

Afin de définir un processus préparatoire, l’UNGIS, après consultation des parties prenantes, a élaboré un plan d’action. Il prévoit une réunion multipartite en 2013 organisée par l’UNESCO (celle qui se déroule à Paris du 25 au 27 Février 2013) et un événement révisionnel en 2014 organisé par l’UIT. Les résultats de ces événements seront intégrés dans le rapport SMSI AGNU et les avis des OMD en 2015.

Source www.unesco.org


L’hôte du 6e Forum de la Gouvernance d’Internet en Afrique de l’Ouest connue

Prise sur le site www.ivoiriensdebaltimore.com
Prise sur le site www.ivoiriensdebaltimore.com

La Côte d’Ivoire a été désigné comme pays hôte de la 6e rencontre annuelle du Forum sur la Gouvernance de l’Internet d’Afrique de l’Ouest (en anglais WAIGF).

« Gouvernance de l’Internet au service de la paix : une responsabilité partagée des parties prenantes » est le thème retenu pour la 6e rencontre.

Il faut également noter que le choix de ce thème a été motivé par la recrudescence de la violence et des problèmes de sécurité dans la sous-région ouest-africaine.

Date: du 03 au 05 Juillet 2013.

Lieu: « Espace CRAE de l’UEMOA »

Ville: Abidjan, Côte d ‘Ivoire

Les inscriptions commenceront bientôt.

Si vous souhaitez collaborer avec nous sur cet évènement, le parrainer ou y participer, s’il vous plaît envoyez-nous un courriel (voir le formulaire à la rubrique contact des sites www.waigf.org et www.igici.ci.)

Source www.waigf.org


Tunza International Youth Conference 2013

 

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Prise sur le https://www.jeunesse.francophonie.org

 

 

 

 

 

 

 

 

Après la première journée des travaux qui a permis aux jeunes participants de la Tunza International Youth Conference 2013 de mieux comprendre les impacts de la destruction de l’environnement sur la santé des populations, c’est autour de la thématique « Jeunesse et Environnement » que se sont appesantis les différentes discussions de la session d’ouverture.

A l’ouverture des travaux, le Directeur exécutif de l’Unep, le Docteur Achim Steimer a informé les participants sur les grands enjeux environnementaux du millénaire. Il a aussi rappelé l’importance de leurs actions dans les campagnes de conservation des ressources naturelles et de protection de l’environnement. En effet, le directeur de l’Unep se désole au même titre que de l’ensemble des participants de la destruction de l’écosystème au nom du développement économique par les grandes puissances mondiales. Pour lui, il faudra encourager dans tous les pays des comportements d’écocitoyenneté et s’engager vers une transition des énergies propres. La fin de la déforestation massive et la réduction de l’émission du CO2 passeront par le choix des énergies renouvelables. Des pays comme le Brésil, l’Inde et le Kenya doivent servir d’exemples et ont fait les bons choix. Pour Frans Labuschagne, représentant du groupe Bayer, partenaire de l’Unep, les jeunes doivent davantage s’investir dans le futur. Car ils sont aujourd’hui les toutes premières victimes de la catastrophe naturelle. Pour exemple, plus de deux millions de jeunes dans le monde meurent chaque année après avoir consommé de l’eau polluée. Les quelques 250 délégués présents à la conférence ont bien compris l’urgence de la situation. En effet, Gracia Paramitha, membre du Tunza Youth Advisory Council (TYAC) a pris l’engagement, au nom de ses pairs, de mener des actions stratégiques afin d’assurer le succès de toutes les campagnes de préservation de l’environnement et de développement durable. Le docteur Martin Kimani a d’ailleurs mentionné qu’il a été inspiré par la détermination des jeunes qui souhaitent s’engager davantage sur des questions liées à l’environnement et le développement durable. Quant au représentant du ministre de la jeunesse du Kenya, Karoki Ooko, il n’a pas manqué de féliciter les jeunes pour leur sélection. En procédant au lancement des travaux, ce dernier a exhorté les jeunes participants à faire montre de plus de motivation et d’engagement.

De la campagne GEO 5 for Youth

La marche vers un monde meilleur nécessite plus d’engagement de la jeunesse. C’est en effet le principal message que les organisateurs de la Tunza International Youth Conference tentent de faire passer aux assises de Nairobi. Les différents axes de la campagne GEO 5 qui consiste à bâtir par des initiatives de jeunes et d’enfants un monde meilleur ont été présentés pat trois GEO Youth Editors, Andrew Bartolo (Turquie), Saba Loftus, Karuna Rana (Îles Maurices). On en retient que de nombreux projets sont soutenus dans différents pays pour assurer la promotion du green business. Par exemple, on peut citer un projet de radio communautaire au Cameroun qui s’emploie exclusivement dans la sensibilisation sur les emplois verts, celui de la fabrication au Nicaragua des matériaux de construction durables à partir des déchets et des appareils électriques en Inde. Des projets très simples, moins coûteux et durables qui peuvent être reproduites dans d’autres pays, soutient Paul Gilruth, le DEWA de l’Unep. C’est pourquoi il insiste que d’autres jeunes du monde entier se joignent à la campagne Fifth Global Environnement Outlook (GEO 5). Aussi, doit-on remarquer que cette campagne permettra de doter les jeunes des outils d’évaluation environnementale, de la qualité de l’air et de la biodiversité. En plus de cette présentation, les discussions en plénière ont porté sur les mesures visant à réduire le gaspillage alimentaire et de profiter de la puissance des médias sociaux pour faire la promotion de modes de vie durables.

De la question de l’eau…

De nos jours, environ 60% des services éco-systémiques sont en pleine destruction par l’action de l’homme. Ce qui impacte sur l’accès à l’eau potable, précisera Ibrahim Thiaw du Programme des Nations-Unies pour l’Environnement. Il appelle aujourd’hui un nouveau management des ressources en eau. Ce qui passe par la réduction de la pollution et de la surexploitation des réserves en eau. Plusieurs participants, dont Séna Alouka de JVE International, n’ont pas manqué d’interpeller les autorités de l’Unep sur une certaine passivité dans la gestion au niveau mondial des ressources en eau. En effet, ces derniers appellent à plus d’actions des organismes internationaux pour le respect et la mise en œuvre par les pays de la convention internationale sur l’eau. D’autres intervenants montreront que l’eau étant devenue aujourd’hui une source de conflits dans plusieurs régions du monde et qu’il faudra intensifier les actions pour sa préservation afin d’éviter le pire. Des exemples sur les pays limitrophes du Nil, du Lac Victoria, du Fleuve Niger et même de certains villages bordant des cours d’eau ont permis de comprendre que la gestion de l’eau nécessite aujourd’hui des actions de plus grandes envergures. La résolution des questions hydrauliques ne doivent plus donc se résumer aux ateliers, conférences internationales, mais de vraies actions sur le terrain.

Des ateliers pour plus d’engagement social de la jeunesse

Au terme de ces échanges relatifs à la gestion des ressources en eau, les participants ont assisté à des ateliers thématiques qui portent essentiellement sur leur motivation dans l’engagement social. Répartis dans six ateliers, les jeunes ont pu réfléchir et proposer des mécanismes pour redéfinir le mouvement social dans le cadre des objectifs du développement durable (ODD) et du Post-Agenda 2015. Il en ressort qu’il faudra renforcer les actions au niveau des différents pays, mais surtout en communautés locales pour s’assurer d’une plus grande visibilité sur les nouveaux objectifs de développement durable. Des actions doivent être mises en œuvre, comme des consultations thématiques auprès de la jeunesse, le développement et l’implantation des projets de green business, et la gestion des ressources en eau. Pour finir, il faudra rappeler que la Tunza International Youth Conference réunit des jeunes participants venus du monde entier, des experts du Programme des Nations-Unies pour l’Environnement autour de différents ateliers, des tables rondes et autres événements pour présenter les dernières découvertes scientifiques, les impacts sanitaires de la dégradation de l’environnement, l’eau, la consommation durable, l’entreprenariat vert et les objectifs du développement durable. Cette conférence précède une rencontre ministérielle prévue pour la semaine prochaine toujours à Nairobi qui se penchera aussi sur les mêmes questions en se basant sur les différentes recommandations de la jeunesse. De plus, elle permettra de désigner les nouveaux représentants des jeunes au sein du Tunza Youth Advisory Council (TYAC) du PNUE. Ces jeunes représentants siègeront pendant deux ans au conseil d’administration du PNUE. Le programme TUNZA développe des activités pour les enfants et les jeunes dans les domaines du renforcement des capacités, sensibilisation à l’environnement et l’échange d’informations. Il vise à promouvoir une génération de citoyens soucieux de l’environnement, capables d’une action positive.

Texte de De Rocher CHEMBESSI depuis Nairobi au KENYA


Où adorons-nous Dieu ?

image du globe Terrestre crée par Reto Stockli avec Alen Nelson.https://jcboulay.free.fr
Image du globe Terrestre crée par Reto Stockli avec Alen Nelson.
https://jcboulay.free.fr

 

Dieu aujourd’hui plus que jamais cherche à établir une habitation en l’homme. Il choisit de se manifester dans les vases fragiles et imparfaits. Il ne s’agit plus de le célébrer uniquement en un seul lieu. Notre propre corps est son temple, et donc nous pouvons à chaque moment l’adorer. C’est la manière infinie qu’il a adoptée pour démontrer sa présence à l’humanité.

« Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? 1 Corinthiens 3 :16 »

Dieu ne cherche pas à impressionner les architectes et les hommes. Il veut que l’homme forme par sa vie et sa louange, une habitation pour Dieu. Notre vie et notre corps sont le temple du Saint-Esprit aujourd’hui.

« Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit : J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux ; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. 2 Corinthiens 6:16 ».

Dieu veut marcher et habiter au milieu de nous continuellement, et c’est pour cette raison que nous sommes son temple. C’est en nous et au travers de nous qu’il a choisit de manifester sa gloire.

Invite le Seigneur Jésus-Christ à faire sa demeure en toi, pour que ta louange et ton adoration soient reçues par Dieu.

Ecrit à partir de la lecture du livre « Aimer Dieu la véritable adoration »                                    de Sylvain Freymond 


IEPF devient IFDD

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Prise du site creden.univ-montp1.fr
Prise du site creden.univ-montp1.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’IEPF, organe subsidiaire de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), né en 1988 de la volonté des Chefs d’Etat et de gouvernement des pays francophones de conduire une action concertée visant le développement du secteur de l’énergie dans les pays membres. En 1996, cette action a été élargie à l’environnement. En 2013, pour sa 25e année L’Institut de l’énergie et de l’environnement de la Francophonie (IEPF) change de nom pour devenir  l’Institut Francophone du Développement Durable (IFDD), avec toujours son siège à Québec au Canada.

Elle contribue à former et à renforcer les capacités des différentes catégories d’acteurs de développement des pays de l’espace francophone dans le Développement Durable ; de même que la croissance des partenariats dans les secteurs permettant d’aboutir au Développement Durable.

Dans sa programmation 2010-2013, il met en œuvre 6 projets en synergie avec les autres programmes de l’OIF issue de la mission D du Cadre stratégique décennal de la Francophonie : « Développer la coopération au service du Développement Durable et de la solidarité ».

Quelques chiffres de l’IFDD

400 cadres formés par année

2000 participants aux ateliers, concertations, rencontres par année

Des activités dans plus de 20 pays chaque année

20 missions d’expertise par année au profit des pays

20 publications par année

1500000 visiteurs sur www.mediaterre.org par année

Partenariat = 25% du budget des projets de l’IFDD

 

Son site officielle devient www.ifdd.francophonie.org


Journee internationale des langues maternelles

Texte en Tshiluba

 

Udi mua kuheta mukashi wa tshikadilu tshimpe nganyi?
Bulengele buandi budi butamba mabue a bilenga mushinga mukole.
Mutshima wa bayandi udi umueyemena, kena ukengela bintu.
Yeye udi wenzela bayandi malu minpe, kena umuenwela bualu bubi matuku onso a muoyo wandi.
Udi ukeba miosa ya mikoko ne buanda bua lin, udi wenza mudimu wa bianza ne disanka.
Udi bu matu a ngend’a mushinga udi ulua ne bia kudia biandi ku miaba ya kule.

Proverbes (BIBLE) en Tshiluba

Traduction Français

Qui peut trouver une femme vertueuse? Elle a bien plus de valeur que les perles.

Le coeur de son mari a confiance en elle,

Et les produits ne lui feront pas défaut.

Elle lui fait du bien, et non du mal,

Tous les jours de sa vie.

Elle se procure de la laine et du lin,

Et travaille d’une main joyeuse.

Elle est comme un navire marchand,

Elle amène son pain de loin.

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Provinces des Kasai en RD Congo (Carte : Geoatlas / RFI)


Doit-on l’appeler « mariage »?

Prise sur le site https://amourchretien.com/z2/?link=details_idee&id=134&cate=73&a=2 (21/02/2013)
Prise le Jeudi 21/02/2013 sur
le site https://amourchretien.com/z2/?link=details_idee&id=134&cate=73&a=2

Depuis la création, une différence biologique existe entre l’homme et la femme. L’identité sexuelle féminine et masculine est le socle intemporel qui fonde le couple et permet le mariage, la procréation et la famille.

Plusieurs questions se posent à nous.

La remise en cause de ce modèle universel, doit-il être accepté au nom de l’évolution de la société? Elle est voisine d’une quête du culte de l’individualisme et de l’hédonisme.

A la lumière de plusieurs ouvertures passées, présentées comme le progrès; dans plusieurs pays ont a vu la structure familiale se fragiliser, ce qui a entraîné une augmentation des divorces et entraîné la multiplication des familles monoparentales, source fréquente de souffrances subies par les parents et par les enfants.

De nos jours le tissu familial se rétréci et en Hexagone, on a assisté au vote de projet de loi sur le mariage homosexuel (dit « mariage pour tous ») et l’homoparentalité.

Est ce véritablement un progrès? Ne serait-il pas plutôt un danger pour notre civilisation et les générations futures.

Devons nous appeler ce genre d’union, « mariage »?

Wikipédia nous dit : « Le mariage est défini traditionnellement comme l’union légitime d’un homme et d’une femme, ou comme « l’acte par lequel l’homme et la femme se placent dans une situation juridique durable afin d’organiser leur vie commune et de préparer la création d’une famille ». »

Ne serait il pas temps de trouver un nom qui lui soit spécifique pour ne point créer une confusion autour du mariage?

Car le mariage = un homme unit à une femme.

Quelques extraits tirés de la revue Pentecôte Novembre 2012